106 francs
C'est le prix des honoraires du Clergé et des employés de l'Eglise pour le service solennel de 10 heures et demie chanté le 2 janvier 1868 pour le duc de Luynes.
Régis Renoncourt
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Etudes historiques et généalogiques.
Exposition 2024 : la décennie Wallart, 1830-1840.
Le 28 juin 1839, Wallart indique au sous-préfet qu'on peut évaluer à 30 francs l'hectare les jachères laissées en pâturage et à 60 francs l'hectare les parties de communaux en pacage.
Au cours de la réunion de conseil municipal du 5 août 1839, le maire fait part des obstacles que rencontre le projet de faire passer le long du chemin des marais les eaux depuis le pont du marais jusqu'au pont de la rue d'Amiens (actuelle rue du général Leclerc; au-delà de ce pont sur le fossé des armures, cette rue n'est, à l'époque, pratiquement pas bâtie, la gare et son quartier n'existant pas encore). On se heurte à l'opposition de plusieurs riverains. On nomme les membres d'une commission qui prendront contact avec l'ingénieur et feront un rapport.
Au cours de la réunion du 12 août 1839, il est question de l'entretien d'un terrain communal du marais et le 14 août de la dépaissance des troupeaux.
Le 27 décembre 1839, dans une lettre au sous-préfet, Wallart fait état des difficultés dans l'affaire Lefrançois précédemment évoquée: "Appelé à donner mon avis, je vous témoignerai d'abord le regret que j'éprouve de voir des personnes faites pour s'entendre et qui peuvent avoir besoin de s'entraider être sur le point d'entrer en procès. Il serait bien désirable dans l'intérêt du pays comme dans le leur en particulier qu'on pût parvenir à les accorder. Puissent mes réflexions amener ce résultat."
Comme on l'a déjà dit, le mandat de Wallart touche à sa fin et il ne règlera lui-même cette question.
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630 000 euros
C'est le montant du coût de la rénovation et de l'agrandissement de la salle des fêtes d'Auxi (qui a désormais 330 m2) selon un article de "l'Abeille de la Ternoise" du 20 juillet 2006.
Régis Renoncourt
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Exposition 2024 : la décennie Wallart, 1830-1840.
Le 6 juin 1838, nouveau courrier au rédacteur du journal des communes; Wallart indique que, dans l'affaire du différend avec Wavans, il a employé vainement tous les moyens de conciliation.
Cependant, l'affaire du moulin Carpentier n'est pas terminée et un courrier à ce sujet est adressé au sous-préfet le 3 décembre 1838: "La digue élevée par M. Carpentier l'a été en quelque sorte de l'aveu des réclamants qui se plaignaient que si on permettait le barrage sur la fontaine pour l'établissement duquel M. Carpentier sollicitait une autorisation ils auraient tous de l'eau dans leur cave. M. Carpentier soutenait le contraire et M l'ingénieur d'Hesdin qui croyait pouvoir revenir dans la quinzaine n'a point trouvé d'inconvénient à tenter cette preuve. M. l'ingénieur ayant tardé à venir faire cette vérification, les riverains de la fontaine demandent que le barrage qui leur nuit évidemment soit enlevé. Dans ces circonstances, il semble qu'il serait convenable de provoquer une prompte visite de M. l'ingénieur qui reconnaîtrait probablement la nécessité de l'enlèvement immédiat de la digue."
Toujours au chapitre des moulins, Wallart adresse le 18 mai 1839 un courrier au sous-préfet pour lui envoyer les pièces concernant la demande faite par les frères Lefrançois d'établir une usine sur un canal de dérivation de l'Authie. Ils ont fait un traité avec le propriétaire de la rive opposée.
Régis Renoncourt
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50 francs
C'est la somme facturée par l'entreprise de charpente Dufétel-Lucas à la ville d'Auxi pour 20 heures de travail fournis à l'occasion de la fête du 14 juillet 1921.
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Exposition 2024 : la décennie Wallart, 1830-1840.
Wallart "relance" le sous-préfet le 14 avril 1838: "Je vous prie de croire que, quand je vous signale une lettre qui est restée sans réponse, ce n'est jamais dans mon intention de vous taxer de négligence (on peut noter que, malgré les précautions stylistiques, Wallart "tacle" ici le sous-préfet de Saint-Pol, sans doute un homme jeune, en début de carrière car Saint-Pol est une petite sous-préfecture; Wallart a près de 70 ans et il est conseiller général). Je sens seulement le besoin d'une prompte réponse. Je l'exprime au fonctionnaire que je crois pouvoir venir à mon aide. J'ignore encore malgré votre réponse du 13 (à la lettre du 11 avril) ce que je dois faire dans le cas où les habitants de Wavans enverraient leurs troupeaux dans le marais sans vouloir payer la taxe. J'ignore pareillement si, regardant cette taxe comme une location ainsi que le pense, M. le Ministre, il ne convient pas de présenter l'état nominatif des propriétaires de bestiaux sous une autre forme que celle précédemment adoptée."
Régis Renoncourt.
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1 381
C'est le nombre de clients de la compagnie générale des eaux à Auxi et Willencourt comme l'indique l'article de "l'Abeille de la ternoise" du 8 juillet 2006.
Régis Renoncourt
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Exposition 2024 : la décennie Wallart, 1830-1840.
Au sujet des marais communaux et de la dépaissance des bestiaux, Wallart fait une demande de renseignements à la rédaction du journal des communes à Paris: "En continuant à imposer une taxe sur les habitants propriétaires qui envoient leurs bestiaux dans le marais, pourra-t-on y contraindre les usagers de Wavans? (la commune de Wavans est alors distincte de celle de Beauvoir-Rivière située dans le département de la Somme). S'ils s'y refusaient quels moyens devra-t-on employer? Ne vaudrait-il pas mieux substituer à la taxe rendue exécutoire par M. le Préfet une location par tête de bétail? Dans ce cas, les habitants de Wavans pourraient-ils encore mettre leurs bestiaux dans le marais sans payer le prix fixé pour la location par tête de bétail. Enfin, quel est le moyen que vous jugez le plus convenable à employer? J'espère avec d'autant plus de fondement que vous voudrez bien répondre à toutes ces questions que quoiqu'abonné à votre journal depuis sa fondation, je ne vous ai encore adressé aucune demande."
Le 11 avril 1838, Wallart écrit au sous-préfet! "Très incessamment, les bestiaux vont être conduits au marais et il n'y aura rien de décidé sur le mode de jouissance que le conseil (municipal) se croit autorisé à régler".
Cependant, le différend avec Wavans occupe encore Wallart durant le printemps 1838. D'autant qu'il faut "relancer" les interlocuteurs.
Régis Renoncourt
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170 francs
C'est le prix que facture à l'hospice d'Auxi Loir-Margry, commerçant rue de l'église, pour livraison d'une barrique de vin rouge en 1896.
Régis Renoncourt
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Exposition 2024: la décennie Wallart, 1830-1840.
On en revient a "pont rouge" le 15 septembre 1837 : Wallart rappelle que le chemin des maraîchons a eu une grande utilité lors de la reconstruction du pont principal (au début des années 1820 suite à son écroulement du à sa vétusté). Il ajoute: "il aura la même utilité toutes les fois que la traverse de la ville sera interrompue. Je n'ai eu qu'un très court délai pour la construction du pont et j'ai été contrarié par les pluies. C'était dans la saison des semailles, j'ai manqué de voitures et je n'ai pu le terminer entièrement mais je l'ai toujours conservé viable.
On peut, aujourd'hui s'étonner que le "pont rouge" ait pu jouer ce rôle de voie de déviation mais il faut se replacer dans les conditions de circulation d'il y a près de 200 ans.
Régis Renoncourt
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